Neurosciences & Leadership
“Fatigue ou surcharge dopaminergique ? Comprendre ton cerveau pour t’épanouir sans t’épuiser”
Je suis restée allongée, épuisée, le cerveau en ébullition… Impossible de dormir. Impossible de m’arrêter de penser. Des idées plein la tête, une sensation d’urgence… mais aucune énergie pour passer à l’action.
C’est là que j’ai compris : je n’étais pas fatiguée. J’étais surchargée.
Pas émotionnellement. Mais neurochimiquement.
Nous sommes nombreuses à confondre fatigue émotionnelle et surcharge dopaminergique.
Quand tu es une femme multi potentielle, sensible, créative, entrepreneure… Ton cerveau carbure à la dopamine — ce neurotransmetteur de la motivation, du plaisir, de la nouveauté.
Mais voilà le piège :
Trop de stimulation = surcharge.
Trop d’enthousiasme = épuisement caché.
Trop d’objectifs = dispersion et perte d’élan.
Tu te retrouves alors dans un cycle paradoxal :
En apparence, tu es “motivée”
En réalité, tu t’épuises à chercher sans construire.
Ce n’est pas que tu ne sais pas gérer ton temps.
C’est que ton cerveau a besoin d’un nouveau management.
Voici trois pistes concrètes pour retrouver ton alignement cognitif :
Écoute ton biorythme neurochimique
Tu as un pic dopaminergique entre 8h et 11h ? → Place tes tâches créatives là.
Tu ressens un down après déjeuner ? → Intègre une pause, une marche ou une sieste neuroactive.
Protège ton cerveau des excès d’infos
Stoppe le scroll passif.
Définis des zones de silence numérique.
Privilégie l’approfondissement à la dispersion.
Accepte de ralentir pour mieux régner
Crée un “planning cyclique” qui respecte ton feu créatif… mais te donne aussi du repos neuronal.
Ta réussite n’a pas besoin de ta surchauffe.
Et toi ?
Es-tu vraiment fatiguée… ou simplement surchargée de dopamine sans canalisation ? Ton énergie est précieuse. Mais ton cerveau mérite un chef d’orchestre, pas un tyran.
Dis-moi en commentaire :
Quelles habitudes vas-tu changer ce mois-ci pour retrouver un leadership apaisé ?
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Ton cerveau n’est pas ton ennemi.
C’est ton meilleur allié. À condition de l’écouter.
